Il s'agit d'un joli coup pour la filiale de Vivendi (>> Vivendi) qui tente d'endiguer les départs de ses abonnés face à la concurrence de nouveaux acteurs comme Netflix (>> Netflix, Inc.), beIN Sports et SFR (>> SFR Group).
Propriété du milliardaire Patrick Drahi, l'opérateur télécoms, qui a fait de l'investissement dans les contenus l'un des piliers de sa stratégie, n'avait pas caché son intérêt pour la Formule 1.
(Gwénaëlle Barzic, édité par Dominique Rodriguez)