Pfizer veut réduire de 2% ses effectifs mondiaux via des départs à la retraite volontaires et des licenciements d'ici le début 2019, afin de rationaliser sa structure d'entreprise et d'éliminer certains échelons de responsabilités.
Le laboratoire américain emploie 90.000 personnes à travers le monde.
La porte-parole Sally Beatty a déclaré que ces suppressions de postes visaient "à créer une structure plus simple et plus efficace et non à réaliser des économies de coûts".
Le groupe pharmaceutique a annoncé le 1er octobre que son PDG depuis 2010, Ian Read, abandonnerait la direction générale à son adjoint Albert Bourla le 1er janvier prochain pour ne conserver que la présidence du conseil d'administration.
Le titre prenait 1,27% à 44,49 dollars vers 18h30 GMT à Wall Street, signant l'une des plus forte hausse du Dow Jones, qui reculait de 0,40% à ce stade.
La chaîne CNBC avait rapporté la première cette information.
(Michael Erman; Catherine Mallebay-Vacqueur pour le service français)