TOKYO, 31 décembre (Reuters) - Carlos Ghosn, patron déchu de Renault et de Nissan accusé au Japon de malversations financières, a déclaré mardi qu'il se trouvait désormais au Liban pour échapper à l'"injustice" et à la "persécution politique" du système judiciaire japonais, qu'il décrit comme "faussé".

Dans un communiqué, l'homme d'affaires, qui possède les nationalités française, libanaise et brésilienne, dit ne pas vouloir rester "otage" du système judiciaire japonais qui "rejette les droits humaines basiques".

(Tim Kelly; version française Jean Terzian)

Valeurs citées dans l'article : Nissan Motor Co., Ltd., Renault