Esker, et Quadient, S. A ont annoncé que leur collaboration de longue date allait prendre une nouvelle dimension en s'associant à la prochaine Plateforme de Dématérialisation des Partenaires du gouvernement français. Quadient et Esker collaborent depuis plus de sept ans par le biais de leur filiale commune NCS, un partenariat stratégique qui permet à Quadient de tirer parti de l'expertise technologique d'Esker en matière d'automatisation et de numérisation des factures clients et fournisseurs. La nouvelle orientation prise par NCS renforce cette collaboration et permet aux entreprises de toutes tailles de vivre une transition fluide et décrochée vers la conformité à la prochaine réglementation fiscale française, selon le calendrier défini, que les factures soient reçues ou transmises par courrier, courriel au format PDF, portail, EDI ou autre canal.

La loi de finances prévoit que les factures échangées entre les assujettis à la TVA doivent être transmises dans un format de données structuré ou un format hybride : A partir du 1er juillet 2024 pour tous les assujettis à la TVA recevant des factures, A partir du 1er juillet 2024 pour les grandes entreprises émettant des factures, A partir du 1er janvier 2025 cela s'applique aux entreprises de taille moyenne émettant des factures, A partir du 1er janvier 2026 cela s'applique pour toutes les micro, petites et moyennes entreprises émettant des factures. La plate-forme de dématérialisation des partenaires, qui sera agréée par le gouvernement français, enverra et recevra des factures électroniques entre entités tout en transmettant simultanément les données de facturation requises au portail de facturation public et en déclarant électroniquement toutes les données de transaction nécessaires. En tant que membres du Forum National de la Facture Electronique et participants actifs aux ateliers organisés par l'Administration Générale des Finances Publiques et l'Agence pour l'Informatique Financière de l'Etat, Esker et Quadient sont actuellement en train de se préparer pour le processus d'enregistrement qui débutera en septembre 2023, avec une accréditation gouvernementale attendue selon les délais officiellement définis.

En plus d'être en conformité avec les directives réglementaires, les entreprises pourront également profiter de services complémentaires, tels que la gestion centralisée de tous les flux de travail, l'automatisation des processus métier, la visibilité complète sur les communications et leur suivi, l'archivage des factures, le traitement des documents associés, le rapprochement des paiements et les capacités de reporting. Ces services sont facilités par une interconnexion aisée avec d'autres solutions métier et une interopérabilité avec d'autres plateformes, ce qui leur permet de simplifier et d'optimiser les processus de gestion, d'accélérer leur transformation numérique et d'améliorer leur gestion de trésorerie.