Dans un communiqué, le gouvernement a assuré que les activités du groupe se poursuivraient normalement et que la nationalisation permettait d'assurer la protection des dépôts et de l'épargne des clients.

Les actionnaires d'AIB devaient initialement se prononcer vendredi sur un projet d'injection de 1,5 milliard d'euros de capitaux publics dans la société.

Bureau de Dublin, version française Marc Angrand