La procédure porte sur la position que Wendel détenait indirectement dans Saint-Gobain, au travers de produits dérivés, lorsque la société d'investissement a déclaré avoir franchi le seuil de 5% du capital du groupe de matériaux de construction en septembre 2007, selon le quotidien.

Il s'agirait de savoir si Wendel devait informer le marché de l'existence de sa position dans des produits dérivés qui, indirectement, renforçaient sa position au tour de table de Saint-Gobain.

Des griefs notifiés il y a plusieurs mois par le collège de l'AMF seront examinés rapidement par la commission des sanctions, ajoute Le Figaro.

Une porte-parole de Wendel n'a pas souhaité commenter ces informations vendredi matin.

L'AMF n'était pas immédiatement disponible pour apporter un commentaire.

Marie Mawad, édité par Benjamin Mallet