"Nous avons noté les informations à ce propos (...). Ces accusations sont sans fondement et irresponsables. La partie chinoise ne peut les accepter", a déclaré le porte-parole, Hong Lei, lors d'un point de presse ordinaire.

Cette affaire, dans laquelle trois cadres de Renault sont soupçonnés, fait l'objet d'une enquête de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) en France, a-t-on appris vendredi de source proche du gouvernement .

Selon Le Figaro, deux des trois cadres soupçonnés par Renault ont des comptes en Suisse et au Liechtenstein alimentés par une société chinoise .

Ben Blanchard et Huang Yan, Danielle Rouquié pour le service français, édité par Dominique Rodriguez