Au sein des obligations d'entreprises libellées en euro, Raiffeisen Capital Management juge que les obligations bancaires restent intéressantes sur plusieurs plans. « Dans le cadre de Bâle III, il se pourrait que les obligations Tier 1, entre autres, ne puissent plus êtres utilisées à partir de 2020 par les banques comme instrument de refinancement », explique-t-il. Dans cette hypothèse, les banques rembourseraient alors très probablement ces titres d'ici là ou feraient des offres de rachat.

« Ceci a dû jouer un rôle ces derniers mois dans la très bonne évolution des obligations Tier 1 » fait remarquer Raiffeisen CM.