L'autorité de la concurrence britannique (CMA) a estimé que les remèdes proposés par Mastercard pour limiter les risques liés à son rachat de VocaLink étaient suffisants et a donc validé l'opération. VocaLink devra notamment ouvrir l'accès à son réseau à de nouveaux prestataires afin de permettre l'émergence d'un nouveau concurrent qui ne soit pas obligé de créer son propre réseau. La concurrence se porte essentiellement sur la gestion de distributeurs de billets (ATM). Mastercard devra contribuer financièrement à ces mesures.