GlaxoSmithKline a confirmé vendredi qu'il avait lui aussi renoncé à racheter le pôle médicaments grand public de Pfizer, un jour après que Reckitt Benckiser ait jeté l'éponge dans le dossier.

'Nous continuerons à étudier les opportunités entrant dans le cadre de notre stratégie, mais les cibles doivent répondre à nos critères de rendement et ne pas compromettre nos priorités en termes d'allocation du capital', s'est justifiée Emma Walmsley, directrice générale de GSK.

A Londres, le titre GSK réagissait favorablement à cette annonce, signant des gains de 2,9% à 1.310,8 pence.

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