Le maire de New York fait figure d’exception au pays des barons. Alors que nos charismatiques financiers fustigent pour la plupart la décision de Standard & Poor’s, Michael Bloomberg dit comprendre le raisonnement qui a poussé l’agence de notation à dégrader la note des Etats-Unis. Pour lui, il s’agit d’un signal d’alarme, qu’il était nécessaire de tirer.
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Tel est l’avis de Warren Buffett, donné au cours d’une interview avec la journaliste Betty Liu pour Bloomberg Television. Selon celui qu’on surnomme « l’Oracle d’Omaha », Standard & Poor’s a commis une erreur en dégradant la note des Etats-Unis de AAA à AA+ le 5 août dernier.
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Le patron du fonds de Legg Mason Value Trust fait partie de ces gestionnaires de fonds qui critiquent sans ménagement la dégradation de la note américaine par l’agence de notation Standard & Poor. Dans une lettre sanglante envoyée dimanche soir, notre baron fustige cette décision qu’il qualifie de « précipitée, inappropriée et dangereuse ». Retour sur UN discours multipliant les arguments d’autorité.
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C’est ce qu’à déclaré Jim Rogers sur CNBC lundi, réagissant à la dégradation de la note de crédit des Etats-Unis par l’agence de notation Standard & Poor. Durant son interview sur la chaîne d’information en continu, notre baron, une fois de plus, n’y est pas allé de main morte.
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Un mystérieux investisseur a parié il y a près d’un mois sur les marchés, à 10 contre 1, que l’Amérique perdrait sa note de crédit AAA. En mettant 850 millions de dollars dans la balance, l’audacieux a gagné près d’un milliard de dollars et beaucoup soupçonnent George Soros d’être celui qui se cache derrière ce pari téméraire.
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