Assurant que les mesures proposées, qui incluent des hausses d'impôts et de taxes et des coupes dans les dépenses, étaient préférables à celles rejetées par les électeurs lors du référendum de dimanche dernier, le chef du gouvernement a dit avoir obtenu d'importantes concessions sur la restructuration de la dette publique.

"Pour la première fois, nous avons sur la table une discussion importante sur une restructuration de la dette", a-t-il déclaré.

Il a précisé que la Grèce rembourserait à la Banque centrale européenne (BCE) 6,8 milliards d'euros correspondant à des obligations arrivant à échéances en juillet et en août et que les mesures de contrôle des capitaux appliquées aux banques n'obligeraient pas le gouvernement à prendre de nouvelles mesures budgétaires.

(Angeliki Koutantou, Michelle Kambas et Costas Pitas, Marc Angrand pour le service français)

Valeurs citées dans l'article : BCE Inc., COSTAS