"Par précaution, nous avons augmenté nos stocks en Grande-Bretagne, dans des zones clés", dit-il au journal allemand.

"Donc en cas de retard ou de problème, nous pourrons toujours servir les consommateurs britanniques."

Le patron de Nestlé ajoute que le groupe, qui a signé en mai un partenariat de sept milliards de dollars (six milliards d'euros) avec Starbucks et a mis en vente en septembre sa division dédiée aux soins de la peau, continuera à ajuster son portefeuille de marques à travers des cessions et des acquisitions.

"Nous en avons le courage et nous allons saisir les bonnes occasions d'acquisitions", ajoute Mark Schneider. "D'un autre côté, nous nous séparerons également d'entreprises qui ne s'intègrent plus dans notre stratégie ou dont les perspectives de croissance ne sont plus aussi bonnes."

(Brenna Hughes Neghaiwi; Catherine Mallebay-Vacqueur pour le service français, édité par Benoit Van Overstraeten)

Valeurs citées dans l'article : FTSE 100 Index, Nestlé