Volkswagen aurait accepté de mettre un terme à la quasi intégralité de ses activités en Iran, selon les informations de Bloomberg. Le média américain s’appuie sur les déclarations de Richard Grenell, l'ambassadeur américain en Allemagne. Le constructeur automobile allemand pourrait néanmoins poursuivre certaines activités liées à l’humanitaire. Si l’exposition de Volkswagen à l’Iran est faible, cette décision pèserait lourd sur un plan symbolique. En effet, l’Union Européenne a manifesté son intention de maintenir l’accord sur le nucléaire iranien, duquel les Etats-Unis se sont retirés.