Le 10 mai 2024, Toa Road Corporation a indiqué dans son communiqué de presse qu'elle avait reçu une proposition d'actionnaire de Strategic Capital Inc. pour sa 118e assemblée générale ordinaire des actionnaires. Les propositions sont les suivantes : i) Affectation de l'excédent, ii) Modification des Statuts (adresse erronée), iii) Modification des Statuts (suppression des postes de conseiller et d'avocat général). La société s'est opposée à ces propositions pour les raisons suivantes : i) La politique de la société consiste à mettre en œuvre des stratégies de gestion en tenant compte de la croissance durable et du coût du capital, dans le but d'obtenir un rendement stable pour les actionnaires et d'améliorer l'évaluation des actions de la société sur le marché boursier.

Cette proposition d'actionnaire n'est pas appropriée du point de vue de la maximisation des intérêts communs des actionnaires à moyen et long terme, ii) La société estime qu'il est approprié de prendre régulièrement des mesures pour s'assurer que l'éthique d'entreprise est rigoureusement respectée et que les lois et règlements pertinents ne sont pas enfreints. La société estime qu'il serait inapproprié d'inclure dans les statuts, qui constituent le code fondamental de la société, une disposition qui fixe la méthode de réponse aux fautes professionnelles, comme le propose l'actionnaire, parce qu'une telle disposition peut en fait restreindre les réponses efficaces et flexibles aux événements individuels, iii) Les conseillers et les avocats de la société ne peuvent pas exercer une influence sur les décisions de l'entreprise, ni sur les décisions de l'actionnaire.Ils contribuent à l'amélioration de la valeur de l'entreprise en offrant leurs opinions sur des questions spécialisées à la demande du président et chef de la direction, sur la base de leurs connaissances, de leur expérience, de leurs réseaux, etc. En général, il n'y a aucune raison rationnelle de les rejeter.

En général, il n'y a aucune raison rationnelle de les rejeter. La société estime qu'il n'est pas nécessaire d'abolir le système des conseillers et des consultants à l'heure actuelle.