"En première analyse, ce que m'a indiqué le président de l'AMF, Jean-Pierre Jouyet, c'est qu'il n'y avait pas de contrepartie française", a-t-elle dit à des journalistes.

Christine Lagarde a toutefois précisé qu'il faudrait attendre fin avril pour avoir le rapport définitif de l'AMF sur le dossier.

"Il n'y a pas de réflexion sur une éventuelle rupture de liens de travail sur des opérations du Trésor français avec Goldman Sachs", a précisé Christine Lagarde.

Goldman Sachs est accusée de fraude par la Securities and Exchange Commission (SEC), l'autorité des marchés financiers américains, qui lui reproche d'avoir trompé les investisseurs au sujet de la commercialisation d'un produit financier complexe lié à des crédits immobiliers subprime.

Jean-Baptiste Vey, édité par Yves Clarisse