Teck Resources Limited a annoncé ses résultats consolidés audités pour le quatrième trimestre et l'exercice clos le 31 décembre 2017. Pour le trimestre, le chiffre d'affaires de la société s'est élevé à 3 207 millions de CAD contre 3 557 millions de CAD un an plus tôt. L'EBITDA s'est élevé à 1 580 millions de dollars canadiens, contre 1 561 millions de dollars canadiens un an plus tôt. Le bénéfice attribuable aux actionnaires s'est élevé à 760 millions de dollars canadiens, contre 697 millions de dollars canadiens l'année précédente. Le bénéfice dilué par action est de 1,30 CAD contre 1,19 CAD l'année précédente. La marge brute d'autofinancement s'élève à 1 464 millions de dollars canadiens contre 1 490 millions de dollars canadiens l'année précédente. Pour l'année, le chiffre d'affaires de la société s'élève à 12 048 millions de dollars canadiens contre 9 300 millions de dollars canadiens l'année précédente. Le bénéfice d'exploitation s'est élevé à 4 333 millions de dollars canadiens, contre 1 725 millions de dollars canadiens l'année précédente. Le bénéfice avant impôts s'élève à 3 976 millions de dollars canadiens, contre 1 628 millions de dollars canadiens l'année précédente. Le bénéfice de l'exercice s'élève à 2 538 millions de dollars canadiens contre 1 041 millions de dollars canadiens l'année précédente. Le bénéfice attribuable aux actionnaires de la société s'est élevé à 2 509 millions de dollars canadiens, contre 1 040 millions de dollars canadiens l'année précédente. Le bénéfice dilué par action s'est élevé à 4,28 CAD contre 1,78 CAD l'année précédente. La marge brute d'autofinancement s'élève à 5 066 millions de dollars canadiens contre 3 056 millions de dollars canadiens l'année précédente. Les variations de la trésorerie d'exploitation sont principalement dues aux variations des prix des produits de base et des volumes de vente, compensées dans une certaine mesure par les variations des taux de change. Les dépenses en immobilisations corporelles se sont élevées à 1 621 millions de CAD, contre 1 416 millions de CAD l'année précédente. L'EBITDA s'est élevé à 5 626 millions de dollars canadiens, contre 3 350 millions de dollars canadiens l'année précédente. Le bénéfice ajusté est de 2 569 millions de dollars canadiens contre 1 103 millions de dollars canadiens l'année précédente. Le bénéfice ajusté par action a été de 4,45 CAD contre 1,91 CAD il y a un an. La dette nette au 31 décembre 2017 était de 5 417 millions de CAD contre 6 936 millions de CAD au 31 décembre 2016. Pour l'année 2018, la société a annoncé que les attentes du marché sont que la production mondiale d'acier et la demande de charbon sidérurgique continueront à augmenter en 2018. La concurrence dans le commerce du charbon sidérurgique devrait augmenter en 2018, à mesure que les exportations australiennes se rétablissent et que les problèmes logistiques en cours sont progressivement résolus. Bien qu'il ne soit pas clair comment le rééquilibrage du commerce du charbon affectera les prix, l'entreprise est bien positionnée pour répondre à l'évolution des marchés. La production de charbon sidérurgique en 2018 devrait se situer entre 26 millions de tonnes et 27 millions de tonnes. La société s'attend à ce que la production de cuivre de 2018 soit comprise entre 270 000 tonnes et 285 000 tonnes, soit légèrement inférieure aux niveaux de production de 2017. La baisse de production est principalement due à la diminution des teneurs à Carmen de Andacollo pendant que la société travaille sur des options d'amélioration du débit, partiellement compensée par une production plus élevée à Highland Valley Copper. La société prévoit que la production de zinc sous forme de concentré en 2018, y compris la production de zinc coproduit de son unité commerciale de cuivre, sera comprise entre 645 000 tonnes et 670 000 tonnes. La société prévoit une production d'environ 20 000 à 24 000 tonnes de cathodes de cuivre en 2018. Le gisement supergène devrait être épuisé au deuxième trimestre de 2018, bien que la société prévoie actuellement que la production de cathodes se poursuivra tout au long de 2019, car la lixiviation du matériau de décharge et l'extraction secondaire du vieux matériau de tas se poursuivront, bien qu'à environ la moitié des taux de production de cathodes actuels.