Les formulations orale et intraveineuse de Tpoxx sont approuvées par la Food and Drug Administration américaine pour le traitement de la variole, mais n'ont pas encore l'autorisation de traiter le monkeypox.

Il est toutefois actuellement accessible par les cliniciens pour le traitement de la variole du singe dans le cadre d'une demande d'utilisation compassionnelle.

Le NIH vise à recruter plus de 500 patients, dont des adultes et des enfants, qui seront ensuite randomisés pour recevoir des pilules de Tpoxx ou de placebo pendant 14 jours.

Les investigateurs évalueront si les participants recevant le Tpoxx guérissent plus rapidement par rapport au placebo, et fourniront des données essentielles sur le dosage optimal et la sécurité du médicament chez les enfants et les personnes enceintes.

Les États-Unis ont enregistré plus de 21 000 cas confirmés de monkeypox, selon les données des Centers for Disease Control and Prevention.