L'entreprise, détenue à 51% par l'Indien Mahindra et à 49% par le constructeur automobile PSA, a justifié cette mesure par des marchés en baisse. La marque espère atteindre une production de 7.000 véhicules cette année.

"Ils vont faire appel au volontariat jusqu’en mars et ensuite, ce sera des licenciements secs", a précisé à Reuters Cyrille Luquet, délégué de la CFDT.

En l’absence de précisions, les suppressions de poste pourraient toucher tous les services de l'entreprise, dont la production et le bureau d'études.

La direction a également annoncé un "plan produit à trois ans" avec la sortie successive de trois nouveaux véhicules.

(Gilbert Reilhac, édité par Gilles Guillaume)