Metropolis Capital Holdings Limited a fourni des prévisions non vérifiées sur les bénéfices consolidés du groupe pour le premier trimestre se terminant le 31 mars 2022. Pour le trimestre, le groupe prévoit d'enregistrer une augmentation d'environ 100 % du bénéfice après impôt par rapport à celui de la période correspondante de l'année dernière. L'augmentation du bénéfice après impôt est principalement attribuable à l'augmentation du revenu résultant d'une augmentation des revenus d'intérêts provenant des accords d'affacturage en raison de l'augmentation du nombre d'accords d'affacturage conclus par le groupe ; et du revenu provenant de la fourniture de services de conseil en matière de leasing financier, qui ont représenté environ 45% du revenu total ; et à la diminution des frais de personnel, qui est principalement due à l'ajustement commercial effectué par le groupe pour solliciter des clients par le biais d'agences, ce qui a entraîné une diminution du nombre de vendeurs dans les magasins de vente directe et du personnel de développement commercial.

Les éléments susmentionnés ont largement dépassé la comptabilisation de la provision pour pertes sur les créances de location-financement et les créances résultant d'accords de vente et de cession-bail pour le premier trimestre de 2022, par rapport à la reprise de la provision pour pertes sur les créances de location-financement et les créances résultant d'accords de vente et de cession-bail pour le trimestre clos le 31 mars 2021. Le Groupe a comptabilisé des provisions pour pertes sur les créances de location-financement et les créances résultant d'accords de vente et de cession-bail principalement en raison de l'augmentation significative des créances de location-financement et des créances résultant d'accords de vente et de cession-bail. En outre, la nouvelle épidémie de nouveau coronavirus (COVID-19) à Shanghai, en République populaire de Chine, causée par les variantes divergentes du COVID-19 depuis fin mars 2022, a conduit le Groupe à adopter des mesures de contrôle des risques plus strictes et à constituer des provisions afin de prévenir les risques de crédit futurs lorsque le Groupe a procédé à l'évaluation de la dépréciation des créances de location-financement et des créances résultant d'accords de cession-bail.