"A ce stade, nous n'avons pas encore identifié le moindre fournisseur achetant des matériaux à Kobe Steel pour des parties entrant dans la fabrication de nos avions", a-t-il précisé.

Kobe Steel a admis mercredi la possibilité d'une falsification des données sur ses produits à base de poudre de fer et a précisé qu'il avait ouvert une enquête en interne à la suite des révélations de la presse.

Le journal Nikkei rapporte dans son édition du jour que plus de 30 clients non-japonais de Kobe, dont Airbus, sont affectés par ces données truquées.

(Tim Hepher, Benoit Van Overstraeten pour le service français, édité par Jean-Michel Bélot)

Valeurs citées dans l'article : Airbus SE, Kobe Steel, Ltd.