JOHANNESBURG, 14 février (Reuters) - Affaibli par une série de scandales de corruption, le président sud-africain Jacob Zuma a démissionné mercredi, cédant aux pressions sa propre formation politique, le Congrès national africain (ANC).

Dans une intervention télévisée d'une trentaine de minutes, Jacob Zuma a déploré l'ultimatum posé par l'ANC mais l'issue paraissait inévitable depuis l'élection, en décembre dernier, de son vice-président Cyril Ramaphosa à la présidence du mouvement politique. (James Macharia, Nicolas Delame pour le service français)