Le pays d'Amérique centrale analyse son inclusion dans le groupe depuis plus d'une décennie, bien que certains anciens gouvernements l'aient rejetée.

L'Alliance du Pacifique cherche à renforcer les liens économiques et commerciaux, sur la base des principes de libre circulation des biens, des services et des capitaux, tout en ciblant les nations regroupées autour de la côte Pacifique de l'Asie, où se trouvent certaines des économies à la croissance la plus rapide.

Chaves, un économiste franc-tireur, a pris ses fonctions en mai.

S'adressant aux journalistes, il a expliqué que l'objectif principal du Costa Rica est d'ouvrir le pays "à l'est du monde, où nous avons peu d'échanges commerciaux et nous avons l'ambition de conclure un accord transpacifique, pour nous rapprocher de pays comme la Chine".

Le Costa Rica a déjà conclu des accords de libre-échange avec la Chine, Singapour et la Corée du Sud. Son économie devrait connaître une croissance de 3,4 % cette année.