Aux États-Unis, la Fed reste attentive aux tensions sur le marché du travail. En Europe, la situation économique se montre clairement plus fragile. L’inflation pèse sur le pouvoir d’achat des ménages d’autant que les hausses de salaires ont été moins élevées qu’aux États-Unis. Dans ce contexte, Edmond de Rothschild maintient sa vue prudente sur les actions et reste prudent sur la duration, même si le rebond des taux longs depuis fin mai pourrait servir de valeur refuge dans un mouvement de risk-off.