Jean-Marie Messier a reconnu à l'ouverture de son procès avoir été arrogant, provocateur et avoir commis des erreurs stratégiques. Poursuivi pour «diffusion d'information fausse ou trompeuse, manipulation de cours et abus de biens sociaux», l'ancien dirigeant de Vivendi a expliqué que la constitution d'un groupe mondial basé sur l'idée d'une future convergence entre les instruments de communication et les contenus était bonne mais trop en avance sur son temps.