Plus forte hausse et plus forte baisse de l'indice SBF 120 à la clôture

RENAULT (+5% à 33,185 euros)
Le constructeur automobile français a affiché la plus forte hausse du SBF 120, soutenu par les bons résultats annuels 2011-2012 de Nissan, dont Renault détient 43,4% du capital. Le bénéfice d'exploitation de la période janvier-mars, quatrième trimestre de l'exercice 2011-2012, a augmenté de 33% à 118,1 milliards de yens (1,15 milliard d'euros), à comparer au consensus Thomson Reuters qui donnait 120 milliards. Pour l'exercice 2012-2013, le deuxième constructeur automobile japonais anticipe un bénéfice d'exploitation de 700 milliards de yens et un bénéfice net de 400 milliards.

VALLOUREC (-19,99% à 34,295 euros)
Vallourec a signé de loin la plus forte baisse du SBF 120. Le fabricant de tubes sans soudure en acier a été pénalisé par la division par deux de ses prévisions de croissance des ventes pour 2012 et par des résultats décevants sur le premier trimestre de l'année. Le groupe prévoit désormais une croissance du chiffre d'affaires d'environ 5% contre 10% auparavant. Le taux de marge brute d'exploitation devrait, lui, s'améliorer progressivement pour atteindre près de 15% en année pleine alors que le consensus était de 16,6%.



Valeurs citées dans l'article : VALLOUREC, RENAULT