L'opération marquerait une étape importante pour Prelios, qui, selon les banquiers, évalue une éventuelle introduction en Bourse ou un rapprochement, alors que son propriétaire, le fonds d'investissement américain Davidson Kempner, cherche à encaisser après son rachat en 2018 du groupe milanais.

Une vente ferait baisser le poids des prêts douteux d'UniCredit à près de 3,1% du total des prêts, selon les calculs de Reuters, contre 3,6% fin décembre.

UniCredit et Prelios ont tous deux refusé de commenter.

Le portefeuille comprend des prêts dits "improbables à payer" (UTP), qui ne sont pas encore en défaut de paiement mais dont le recouvrement intégral est jugé improbable, d'une taille moyenne inférieure à 5 millions d'euros chacun, ont précisé les trois sources.