Dans l'immense Bolivie en monde ouvert de Tom Clancy's Ghost Recon Wildlands, vous êtes libre d'aborder vos missions comme vous l'entendez. De l'infiltration furtive nocturne au raid direct en plein jour, des attaques aériennes aux opérations amphibies, il existe bien des façons d'aborder une situation. Cette flexibilité encourage les joueurs à tester différentes approches et à expérimenter les différents véhicules et armes, ce qui finit toujours pas créer des moments mémorables. Après avoir pris en main Ghost Recon Wildlands pendant quelques heures, nous avions tous vécu une expérience différente et étions ébahis en repensant à ce que nous venions d'accomplir. On vous propose ici de découvrir ce que nos collègues d'Ubiblog US ont retenu :

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CHRIS WATTERS

J'aime voler en rase-motte en hélicoptère. Non seulement ça m'aide à éviter les missiles anti-aériens, mais en plus je trouve que débuter une mission lancé à toute vitesse sur une route de campagne ou effleurer la cime des arbres en forêt aide à faire vraiment monter la tension. En revanche s'il y a bien une situation qui requiert de prendre de l'altitude, c'est un parachutage. (Sautez à trop basse altitude et votre parachute ne pourra pas se déployer ; on sait tous que dans ce cas les résultats ne sont pas ce qu'il y a de plus plaisant…)

C'est d'ailleurs au cours d'un parachutage que je réalise ma plus belle manœuvre en tant que Ghost. Nous prenons d'assaut l'entrée d'une mine dans laquelle un des boss de la Santa Blanca se terre et tous mes coéquipiers ont déjà sauté de l'hélicoptère pour débuter l'opération. Alors que je viens à peine de m'élancer dans le vide et de laisser l'hélico derrière moi, je vois déjà les balles fuser juste en dessous. Je remarque alors des lignes de visée laser sur le champ de bataille - un sniper de toute évidence. Mon réflexe est de plonger directement sur lui depuis les airs. Je sors mon parachute et tournoie autour de lui pendant ma descente, en visant sa position sur le toit.

Le toit n'est pas bien grand mais je réussis à avoir un timing parfait ; après un atterrissage en roulade impeccable, je me remets sur mes pieds pour attaquer mon ennemi en combat rapproché. Il a à peine le temps de remarquer ma présence avant que je ne le maîtrise, récupère son arme et prenne une position de soutien en sniper pour aider mes coéquipiers. En regardant à travers la lunette, je vois l'un de mes camarades en train de semer le chaos - il mène une charge frontale en plein cœur d'une place forte ennemie. C'est l'heure pour moi de me joindre à la fête !

MIKEL REPARAZ

La charge frontale que mentionne Chris, c'est moi ;). Ça fonctionne d'ailleurs très bien (et c'est très drôle) jusqu'à ce que je me heurte à des barrières en béton armé à l'entrée du tunnel. Pendant que nous faisons une nouvelle tentative pour prendre cette mine, je suis aussi l'idiot qui remarque un hélicoptère sans surveillance sur la carte et - en imaginant une entrée façon Chevauchée des Walkyries où nous aurions chacun notre propre hélicoptère - décide d'abandonner le reste de l'équipe.

Je précise « idiot » parce qu'il s'avère que cet hélico se trouve en plein cœur d'un camp fortifié et que je me débrouille pour atterrir à l'opposé de l'unique entrée du camp… Heureusement pour moi, il fait nuit et je constate qu'il y a peu de gardes. Je réussis donc à atteindre l'héliport sans faire de grabuge et sans me faire remarquer. Avant même que je puisse me glisser dans l'hélico pour le faire démarrer, mes coéquipiers commencent déjà la mission à la mine. Pendant que je survole des paysages pittoresques, en évitant de temps à autre des missiles anti-aériens et des patrouilles ennemies, mes coéquipiers sont sous terre en train d'abattre des ennemis et de déclencher des explosions dans les tunnels. J'entends leurs échanges sur-vitaminés dans le casque tout en regardant avec effroi le compteur de distance et l'écart entre leur position et la mienne se réduire tout doucement, persuadé que je vais tout manquer.

Par chance, un petit miracle se produit : alors que je survole la dernière colline à proximité de la mine, j'entends un cri de joie dans le casque. Mes coéquipiers viennent de gagner et cherchent une sortie. Je peux voir leur marqueur remonter un chemin à travers la montagne en direction de la surface. En fait je ne les ai pas ralentis, mon timing est parfait.

Je cris dans le casque : « LZ en approche ! Préparez-vous à évacuer ! »

De la fumée rouge s'élève d'une sortie dissimulée dans la montagne, ce qui me donne une zone d'atterrissage clairement identifiée. Je me pose pile à l'instant où le dernier de mes coéquipiers sort à la lumière du jour. Ils montent à bords ; ça y est, nous sommes de nouveau au complet et je nous éloigne des poursuivants éventuels tandis que nous choisissons notre prochaine mission. Cette fois, je ne m'amuserai pas à partir dans mon coin sans que ce soit un choix collectif.

GIANCARLO VARANINI

Ghost Recon Wildlands rend les choses simples pour les loups solitaires qui veulent faire des dégâts avant que le reste de l'équipe n'arrive sur place, mais ce n'est pas toujours une bonne idée. Nous avons sélectionné une mission qui nous emmène sur une base de la Santa Blanca avec trois cibles clés. Je me sépare de l'équipe et prends les devants dans ma jeep pour faire un peu de reconnaissance et voir s'il est possible d'éliminer une de ces cibles via une attaque furtive ou de loin au fusil sniper.

J'arrive sur place et découvre un lieu hautement sécurisé dont les quelques points d'entrée existants manquent cruellement de possibilités de couverture pour notre raid nocturne. Je sors mes jumelles et commence à marquer les cibles - malheureusement, les trois cibles se trouvent au centre de la base. Alors que j'essaie de trouver un moyen d'entrer sans me faire détecter, le reste de mon équipe arrive sur place. L'un de mes camarades prend une position de sniper pour offrir un soutien aux autres pendant l'infiltration, mais l'un d'entre eux se fait rapidement remarquer à l'intérieur et ça devient vraiment l'enfer.

Une base pleine d'ennemis en alerte maximum, c'est plutôt dangereux ! Je suis rapidement abattu au cours de l'affrontement. Par chance un de mes camarades à proximité me ranime et je retourne dans le feu de l'action. Je réalise alors qu'on ne se bat pas uniquement contre la Santa Blanca, mais aussi contre les forces de l'Unidad, qui nous canardent allègrement. Un de mes camarades nous annonce qu'un hélicoptère ennemi est en approche. Puisque c'est comme ça, je décide ni plus ni moins de le trouver et de l'abattre. Le trouver ne s'avère pas si difficile, du coup je vise, vide l'intégralité de mes chargeurs et réussis finalement à l'abattre.

Voir tous ces débris enflammés me booste à 1000% ! Confiant, je continue mon avancée au sein de la base ennemie pour trouver les cibles de notre mission tandis que mon équipe continue d'affronter des forces ennemies. Je les élimine une à une mais on ne peut pas vraiment dire que la tension redescend autour de nous. Il est donc temps d'évacuer le site. Nous prenons le contrôle de quelques véhicules blindés dans un garage ennemi et partons à toute vitesse en laissant derrière nous la Santa Blanca et l'Unidad s'affronter entre elles. Ce n'est pas la mission la plus fluide que j'ai pu accomplir à ce jour mais avec un peu d'improvisation et de flexibilité, tout devient possible.

Vous pourrez peut-être bientôt découvrir tout cela par vous-même au cours de la bêta fermée du jeu qui aura lieu du 3 au 6 février 2017. Pour vous inscrire et tenter de gagner un accès, c'est par ici.

Tom Clancy's Ghost Recon Wildlands sera disponible sur PS4, Xbox One et PC le 7 mars 2017.

La Sté Ubisoft Entertainment SA a publié ce contenu, le 26 janvier 2017, et est seule responsable des informations qui y sont renfermées.
Les contenus ont été diffusés par Public non remaniés et non révisés, le26 janvier 2017 13:53:07 UTC.

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