Bon-Ton Stores Inc. a annoncé des résultats consolidés non vérifiés pour le premier trimestre clos le 29 avril 2017. Pour le trimestre, la société a déclaré des ventes nettes de 536 141 000 $ contre 591 007 000 $ il y a un an. La perte d'exploitation a été de 38 786 000 dollars contre 22 876 000 dollars il y a un an. La perte avant impôts sur le revenu s'est élevée à 57 363 000 $, contre 37 962 000 $ l'année précédente. La perte nette s'élève à 57 315 000 $, soit 2,86 $ de base et dilué par action, contre 37 818 000 $, soit 1,91 $ de base et dilué par action, l'année précédente. La trésorerie nette utilisée pour les activités d'exploitation s'est élevée à 30 995 000 dollars, contre une trésorerie nette fournie par les activités d'exploitation de 12 278 000 dollars l'année précédente. Les dépenses en capital se sont élevées à 9 781 000 $, contre 12 626 000 $ l'année précédente. Le LBITDA ajusté s'est élevé à 15 625 000 $, contre un EBITDA ajusté de 1 325 000 $ l'année précédente. Les ventes des magasins comparables au premier trimestre de l'exercice 2017 ont diminué de 8,8 %. Pour l'année 2017, la société prévoit une perte nette de l'ordre de 52 600 000 $ à 42 200 000 $, un avantage fiscal de 300 000 $, un EBITDA ajusté de l'ordre de 115 000 000 $ à 125 000 000 $. La société continue de s'attendre à ce que la perte par action se situe dans une fourchette de 2,08 $ à 2,59 $, y compris une dépense de 0,05 $ pour la 53e semaine. La société prévoit une diminution des ventes comparables allant désormais de 3,0 % à 4,0 %, ce qui exclut les ventes de la 53e semaine ; un taux de marge brute stable ou en hausse de 10 points de base par rapport au taux de 35,5 % de l'exercice 2016 ; des frais généraux, de vente et d'administration allant désormais de 855 millions à 857 millions de dollars, dont environ 10 millions de dollars pour la 53e semaine, par rapport à des frais généraux, de vente et d'administration de 880,6 dollars pour l'exercice 2016 ; l'amélioration par rapport aux prévisions antérieures de la société est principalement due à la baisse des dépenses liées à la publicité, aux salaires et à l'occupation. Les dépenses d'investissement ne doivent pas dépasser 30 millions de dollars, déduction faite des contributions externes.