"Nous avons besoin d'entreprises comme Teck ici au Canada, des entreprises qui ont un engagement fort envers le Canada", a écrit Mme Freeland dans une lettre adressée au Greater Vancouver Board of Trade, dont Reuters a pris connaissance. Mme Freeland répondait ainsi aux inquiétudes de la chambre concernant l'avenir de Teck au Canada à la suite de l'offre non sollicitée de Glencore.