Citant des sources financières anonymes, le quotidien italien Il Messaggero a rapporté dimanche que la France envisageait une fusion entre les deux constructeurs afin de renforcer son emprise sur le secteur et de contrer la concurrence chinoise et allemande.

Stellantis a déclaré qu'elle ne commenterait pas "les spéculations infondées d'Il Messaggero".

Les analystes d'Equita ont déclaré qu'une telle opération se heurterait à des obstacles antitrust évidents, ainsi qu'à des problèmes sociaux dus à la duplication des installations en France.

Les actions de Stellantis ont baissé de 0,2 %.