Attiré vers le fond du marché parisien par Renault (-13,75% à 74,5 euros), Peugeot (-5,15% à 13,99 euros) parvient à limiter ses pertes après avoir indiqué "ne pas avoir fait l'objet d'une perquisition de la DGCCRF". Il précise également que les travaux menés par la commission mise en place en France après le scandale Volkswagen "démontrent la pertinence des choix technologiques de PSA Peugeot Citroën en matière de traitement des émissions de polluants."

"Les résultats des tests réalisés par la commission technique présidée par la ministre de l'écologie, Madame Ségolène Royal, nous ont été communiqués et attestent de l'absence de toute anomalie sur les véhicules de PSA Peugeot Citroën", assure le constructeur.