La lettre, dont Reuters a obtenu copie, a été rédigée par les syndicats CFDT, CFE-CGC, CGT et FO.

Le gouvernement français travaille sur un projet, appelé "Hercule", visant à séparer la branche nucléaire d'EDF du reste du géant de l'énergie, et il est en pourparlers avec l'Union européenne à ce sujet.

Cependant, le projet "Hercule" a suscité des inquiétudes quant à la sécurité de l'emploi parmi les employés, qui craignent qu'une scission entre les activités d'EDF n'entraîne des suppressions de postes.

L'État français détient une participation d'environ 83,7 % dans le capital social d'EDF.