"Les réserves ne seront pas vendues, mais la capacité de la société à produire à partir des réserves est à l'étude", a déclaré Khalid al Falih à la chaîne satellitaire basée à Dubaï dans un entretien diffusé dimanche et accordé à Davos, en Suisse, où s'est tenu la semaine dernière le Forum économique mondial.

Aramco détient des réserves de brut évaluées à 265 milliards de barils, soit 15% du total mondial.

En cas de mise en Bourse, elle deviendrait la première société cotée valorisée à 1.000 milliards de dollars (plus de 920 milliards d'euros), ont calculé des analystes.

(Noah Browning et Hadil al Sayegh, Danielle Rouquié pour le service français)