L'accord est maintenant soumis à l'approbation du tribunal.

Le mois dernier, Airbus a confirmé qu'il négociait un nouvel accord de corruption avec les autorités françaises concernant des transactions passées en Libye et au Kazakhstan, dans le prolongement d'un accord conclu en 2020 qui prévoyait des amendes record contre le constructeur d'avions.

L'accord initial fait suite à une enquête de quatre ans qui a débuté en Grande-Bretagne et s'est ensuite étendue à la France et aux États-Unis, mettant en lumière un réseau d'intermédiaires et de paiements déguisés.