Selon Invesco, il est difficile de qualifier les valorisations des actions de « bon marché » pour de nombreux grands marchés. Sur la base des mesures de valorisations habituelles, les actions mondiales, au premier rang desquelles les Etats-Unis, se traitent sur des niveaux supérieurs à la moyenne historique, voire au plus haut historique, fait remarquer le gestionnaire d’actifs.

Néanmoins, et malgré la récente hausse des taux d'intérêt dollars et euros, il juge que la comparaison entre actions et obligations reste flatteuse pour les actions.

D'une part parce que les taux de rendement du dividende affichent une stabilité remarquable malgré les fluctuations des marchés. Mais aussi parce que la croissance des bénéfices pourrait, selon le scénario de la reflation, s'avérer enfin significativement positive en 2017, avec des croissances à deux chiffres pour la plupart des grandes régions.