Selon Schroders, il est clair que les marchés obligataires émergents ne présentent pas actuellement des opportunités aussi exceptionnelles que début 2009, mais il dit ne pas douter qu'ils offriront de meilleurs points d'entrée au cours du deuxième semestre. «Dans l'intervalle, on ne peut exclure un impact négatif d'une remontée des taux longs sur les marchés de dette émergente, car la corrélation ne sera pas nulle, même si l'impact est atténué», écrit-il.

Il opte donc pour un positionnement prudent, et attend un rendement actuariel du portefeuille de seulement 1,8% compte tenu de la faible duration retenue.