Le responsable n'a pas donné de raison pour ce bond des revenus qui intervient alors que les prix du pétrole ont presque doublé par rapport à l'année dernière en raison de la guerre en Ukraine et de la reprise économique mondiale post-pandémie.
Le gouvernement iranien affirme qu'il continue d'exporter du pétrole malgré les sanctions américaines réimposées en 2018 après que l'ancien président américain Donald Trump se soit retiré d'un accord visant à restreindre le programme nucléaire iranien.
Les pourparlers visant à relancer l'accord de 2015, et à permettre la levée des sanctions américaines, sont en suspens depuis mars, principalement en raison de l'insistance de Téhéran pour que Washington retire le Corps des gardiens de la révolution islamique de la liste américaine des organisations terroristes désignées. (Reportage de la salle de presse de Dubaï ; édition : Mark Potter)