S'adressant aux journalistes lors d'une visite à Kiev, M. Draghi, ancien président de la BCE, a déclaré que les États-Unis connaissaient le plein emploi et que l'inflation hors prix de l'énergie et des matières premières était beaucoup plus élevée que dans la zone euro.

Pour cette raison, si les hausses d'intérêt sont "inévitables" dans le bloc monétaire de 19 nations, "le rythme de l'ajustement sera forcément plus progressif".