Le contrat février sur le brut léger américain a fini sur une progression 26 cents, soit 0,32%, à 81,77 dollars le baril après avoir évolué entre 80,95 et 91,99 dollars.

Au même moment, le Brent prenait 0,63 cents (+0,79%) à 80,75 dollars.

Il s'agit de la neuvième clôture en hausse consécutive du brut américain, qui est toutefois reste en-deçà du plus haut en séance de 82 dollars touché en 2009 en raison d'interrogations sur le rythme de la reprise économique.

Les intervenants sur le marché immobilier suivent depuis plusieurs mois de près les indicateurs macro-économiques, avides d'y lire un signe de l'accélération de la croissance, évolution qui pourrait doper une demande pétrolière qui reste mitigée.