BEYROUTH, 8 février (Reuters) - Le gouvernement syrien a rejeté mardi les accusations d'Amnesty International sur son recours aux exécutions de masse et à la torture systématique dans une prison près de Damas.

Le ministère de la Justice a qualifié le rapport de l'ONG de "dénué de tout fondement", a rapporté tard mardi soir l'agence de presse officielle Sana.

Dans ce rapport publié mardi, Amnesty accuse le régime syrien d'avoir pendu secrètement jusqu'à 13.000 opposants présumés, en grande majorité des civils, entre 2011 et 2015. (John Davison; Tangi Salaün pour le service français) )