Le sous-secrétaire général des Nations unies aux affaires humanitaires, Martin Griffiths, a déclaré à Reuters que lors des discussions avec les autorités de Kaboul au cours des derniers jours, son message avait été le suivant : "Si vous ne pouvez pas nous aider à annuler l'interdiction, donnez-nous les exemptions pour permettre aux femmes d'opérer."

Le mois dernier, les autorités talibanes ont ordonné aux ONG, dont beaucoup mènent des opérations pour le compte des Nations Unies, d'interdire à la plupart de leur personnel féminin de travailler.