William Wragg, président de la commission de l'administration publique et des affaires constitutionnelles, a déclaré que le gouvernement avait tenté de "faire chanter" les législateurs qu'il soupçonne de vouloir évincer Johnson du pouvoir.

Le porte-parole de Johnson a refusé de commenter spécifiquement les allégations, mais lorsqu'on lui a demandé si le premier ministre allait "condamner sans équivoque toute forme d'intimidation et de harcèlement", il a répondu : "Oui".