Genève - 6 novembre 2013 - Le Comité économique et social des Nations Unies (ECOSOC) a accordé le statut consultatif spécial à OISTE.ORG, organisation internationale pour la sécurité des transactions électroniques basée à Genève qui a lancé la campagne « La Suisse sur Internet » pour défendre le principe de neutralité sur Internet. Le fait de bénéficier du statut consultatif auprès des nations Unies va permettre à OISTE.ORG de s'impliquer activement et de multiples manières dans les programmes, le financement et le travail des agences du Secrétariat des Nations Unies : http://www.oiste.org/wp-content/uploads/2013/08/OISTE_confirmation_ECOSOC.pdf:
http://www.oiste.org/wp-content/uploads/2013/08/OISTE_confirmation_ECOSOC.pdf

Pour OISTE.ORG, plusieurs problématiques importantes ont récemment émergé en matière de gestion des données personnelles, d'identité numérique, de sécurité des informations et de respect du droit à la protection de la vie privée. Tous les utilisateurs d'Internet sont concernés, et une action concertée entre les États est requise. Fondée en 1998, la Fondation OISTE est une organisation à but non lucratif basée à Genève et régie par les articles 80 et suivants du Code civil suisse. Elle a lancé la campagne « La Suisse sur Internet », un ensemble d'outils politiques, technologiques et juridiques destinés à favoriser la neutralité sur le Net, un thème qui alimente de plus en plus souvent les débats, tant dans le secteur public que privé. Selon OISTE, les sociétés présentes sur Internet, les réseaux sociaux, les services du cloud, les fournisseurs d'accès et les gouvernements devraient traiter de la même manière les données fournies par les utilisateurs et par les organisations, et chacun a le droit de disposer d'un accès gratuit à Internet. Toute atteinte au principe de neutralité constitue une attaque à l'encontre des principes fondateurs d'Internet. Au coeur de cette stratégie, on trouve la clé racine OISTE, présente sur plus de 2 milliards de navigateurs classiques et mobiles ainsi que sur des périphériques qui composent « l'Internet des objets ». La clé OISTE s'avère par conséquent omniprésente et universelle, dès lors que l'on dispose d'une clé publique remise par les autorités de certification du monde entier.

OISTE encourage les autres ONG et États Membres des Nations Unies à collaborer afin que le « droit à disparaître » soit intégré à l'infrastructure Internet. Cela signifie que les personnes disposeront des moyens nécessaires pour gérer leurs informations personnelles, et notamment de la possibilité de supprimer des informations privées qu'elles ne souhaitent plus voir circuler en ligne, conformément à l'Article 12 de la Déclaration universelle des droits de l'homme selon lequel « Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes. »

Pour en savoir plus       
http://www.oiste.org:
http://www.oiste.org/

http://www.facebook.com/iosetransactions?ref=hl#!/iosetransactions:
http://www.facebook.com/iosetransactions?ref=hl#!/iosetransactions

Contacts presse :
OISTE
press@OISTE.ORG:
mailto:press@OISTE.ORG
Tel. +41 22 594 30 02




This announcement is distributed by Thomson Reuters on behalf of Thomson Reuters clients.

The owner of this announcement warrants that:
(i) the releases contained herein are protected by copyright and other applicable laws; and
(ii) they are solely responsible for the content, accuracy and originality of the
information contained therein.

Source: WISeKey via Thomson Reuters ONE

HUG#1740808

© GlobeNewswire - 2013