Le Brésil cherche une lueur d'espoir, souligne Axa IM
Le Brésil est sur le devant de la scène à l'approche des élections générales du 5 octobre. Le pays a en effet un besoin critique de réformes structurelles des règlementations du travail, des impôts et du commerce, de la création du capital humain, qui lui permettraient de progresser dans la chaîne de valeur mondiale et d'améliorer ses perspectives de croissance. Alors que la classe moyenne brésilienne est convaincue de la nécessité des réformes, la réformiste Marina Silva semble avoir ses chances au second tour des élections présidentielles.
Manolis Davradakis estime qu'une élection de Marina Silva ouvrirait la voie aux réformes structurelles nécessaires pour relancer la croissance, mais elle n'est ni acquise ni complètement intégrée par le marché actions, tandis que la normalisation de la politique monétaire américaine et la faiblesse de la croissance chinoise pourraient peser négativement sur le marché brésilien.
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