"Dans l'ensemble, les pressions sur les prix restent fortes et l'inflation sous-jacente est toujours élevée", a-t-elle déclaré au Parlement européen à Strasbourg. "Même si la plupart des mesures des anticipations d'inflation à plus long terme se situent actuellement autour de 2 %, ces mesures justifient une surveillance continue."

Elle a ajouté que, bien que les indicateurs de confiance soient en hausse et que les prix de l'énergie aient baissé, l'activité économique restera faible à court terme.