Le spécialiste français des services et équipements géophysiques pour l'industrie pétrolière, qui bénéficie des investissements du secteur dans l'amont, a redit qu'il visait une croissance d'environ 25% de son chiffre d'affaires en 2013.

Il table également toujours sur un montant des investissements industriels compris entre 300 et 350 millions de dollars, sur une génération de cash-flow positive et sur une amélioration du retour sur capitaux employés.

Dans un communiqué, Jean-Georges Malcor, le directeur général du groupe, dit s'attendre à un "très fort" quatrième trimestre, notamment chez Sercel, la division d'équipements de recherche sismique et dans les activités d'études "multi-clients".

Les investisseurs ont salué ces résultats jugés supérieurs aux attentes, en particulier dans l'activité multi-clients, ainsi que les perspectives encourageantes du second semestre.

A 9h40, le titre CGG affiche l'une des plus fortes progressions de l'indice SBF 120, avec une hausse de 3,6% à 19,67 euros. Il est cependant en recul de 13% depuis le début de l'année, pour une capitalisation boursière de 3,5 milliards d'euros.

CGG a enregistré au deuxième trimestre un résultat net part du groupe de 36 millions de dollars (contre 34 millions au deuxième trimestre 2012), un résultat opérationnel de 117 millions de dollars (contre 96 millions) et un chiffre d'affaires en hausse de 24% à 1.032 millions de dollars.

Jean-Michel Bélot et Benjamin Mallet, édité par Dominique Rodriguez