EIFFAGE
Eiffage a publié un résultat net part du groupe 2009 de 190 millions d'euros, en recul de 35,1%, et un résultat opérationnel courant de 1,017 milliard d'euros, en repli de 7,3%. Déjà publié, le chiffre d'affaires du groupe de construction et de concessions est resté pratiquement stable à 13,233 milliards d'euros. Eiffage revendique un carnet de commandes de 9,88 milliards d'euros. Le groupe a proposé le maintien d'un dividende de 1,20 euro par action. Concernant ses perspectives pour 2010, Eiffage prévoit un chiffre d'affaires consolidé stable à 13,3 milliards d'euros.

HI-MEDIA
Hi-media annonce que sa division Hi-media Payments élargit de nouveau son offre en proposant la nouvelle solution de paiement mobile MPME (Micro-Paiement Mobile & Enablers) sur sa plateforme Allopass à ses 280 000 sites partenaires, depuis le 18 février dernier. « Les éditeurs peuvent (...) proposer à la vente des services et contenus multimédia d'un montant pouvant aller jusqu'à 8 euros. La transaction est ensuite directement reportée sur la facture de l'opérateur mobile de l'abonné », a expliqué le groupe media online.

SAINT GOBAIN
Saint-Gobain a dévoilé un résultat net courant, c'est-à-dir, hors plus ou moins-values de cessions, dépréciations d'actifs et provisions non récurrentes significatives, de 617 millions d'euros, en baisse de 67,8%. Les analystes interrogés par Thomson Reuters visaient en moyenne 598 millions d'euros.Le résultat d'exploitation s'est, lui, élevé à 2,216 milliards d'euros, en recul de 39,3%. Le chiffre d'affaires a baissé de 13,7% à 37,786 milliards d'euros, à comparer avec un consensus de 37,74 milliards d'euros.

SPIR COMMUNICATION
Spir Communication a essuyé en 2009 une perte nette de 92,9 millions d'euros, contre un bénéfice de 10,5 millions d'euros en 2008. Le spécialiste de la communication locale a pris en compte une dépréciation de la participation détenue dans la société S3G Com pour un montant de - 29,8 millions d'euros. Par ailleurs, le groupe a été impacté au niveau opérationnel par des éléments non courants, qui s'élèvent à -31,4 millions d'euros de charges de restructuration et à -26 millions de provisions pour dépréciations d'écarts d'acquisition.