L'indice de ce dernier est ressorti à -12, contre -11 en octobre. Les économistes avaient anticipé -10.

Selon l'enquête de GfK, les Britanniques se montrent plus pessimistes au sujet de l'état de leurs finances et semblent ne guère avoir envie de se lancer dans de grosses dépenses, malgré la nette amélioration de la conjoncture.

Les salaires ont augmenté moins vite que l'inflation et bon nombre de personnes disent ne pas ressentir les effets de la reprise économique du pays.

Après avoir été à la traîne de ses pairs pendant plusieurs années, la Grande-Bretagne connaît un des taux de croissance les plus élevés parmi les pays développés, grâce notamment à la bonne tenue de la consommation des ménages.

"Ce qui sera intéressant à observer au cours des prochains mois c'est l'écart entre la série de bonnes nouvelles relatives à l'économie et le fait que les consommateurs ne perçoivent pas d'amélioration de leur situation personnelle", a déclaré Nick Moon, un des chercheurs de GfK.

Service économique