Les emprunts nets sont ressortis à 17,3 milliards d'euros, alors que Berlin comptait emprunter 48,4 milliards. Ce chiffre est même inférieur à la prévision révisée de novembre, lorsque le gouvernement allemand disait compter sur environ 22 milliards.

Ce résultat est essentiellement imputable à des rentrées fiscales bien meilleures que prévu, en hausse de 22% par rapport à 2010, à 248,1 milliards d'euros.

Les dépenses ont quant à elles diminué de 7,5 milliards d'euros à 296,2 milliards, et le ministère a prévenu qu'il poursuivrait les efforts de consolidation.

Sarah Marsh, Nicolas Delame pour le service français, édité par Benoît Van Overstraeten